tristesse
Si parfaite tristesse qui d'un petit tremblement de la lèvre se soulage dans un soupir. L'été se débat dans les feuillages glisse perplexe sur la suite des jours Déjà le déclin s'annonce et la tristesse installée au coeur suit la courbe des branches. Elle qui refusait l'oubli a depuis longtemps au pied de la dune perdu le combat des absents. Temps de grandes marées , l'eau mange la dune