avant le départ
Amarré au ciel qui chancelle une odeur de résine habite l'âme. Il faut au regard la persévérance de la lente croissance du bois pour qu'assis aux cimes il s'emporte au-delà de l'obscur. La nuit aura beau glisser dans les mailles il y aura ce manque, cette absence, ce temps vers l'aube une lueur sur l'épaule, où tout est possible où tout est retenu.