avant le départ
Amarré au ciel qui chancelle
une odeur de résine habite l'âme.
Il faut au regard la persévérance
de la lente croissance du bois
pour qu'assis aux cimes
il s'emporte au-delà de l'obscur.
La nuit aura beau glisser dans les mailles
il y aura ce manque, cette absence,
ce temps vers l'aube une lueur sur l'épaule,
où tout est possible
où tout est retenu.
Merci pour ce beau texte vers l'aube ! Bon dimanche !
RépondreSupprimer