dos à la dune
Il y eut ce long et patient travail
du vent dans les oyats
ce calme avant que ne s'estompe
doucement le sel de la vague
Mélancolie du retour
Ce nuage qui peuple les branches
du chant lointain
je le goûte répandu en lichens
et mousses lissés du céladon
d'une fin de journée immobile
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