Le regard oublie l'hiver
à l'abri des grands arbres
au loin l’œil se perd
dans l'innocence du lieu
Plus tard
bien plus tard
il raconte encore
le feuillage protecteur
des mots oubliés dans le paysage
le parcours exigeant de la pierre
son goût âpre sous le soleil d'août
le crépuscule sur la terre
aux racines odorantes
décembre 2018 - photo Soule 2015
Magnifiques texte et photo
RépondreSupprimerMerci François :)
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RépondreSupprimerBonjour Christine. Heureux de passer par ici. Merci.
SupprimerHeureuse que vous fassiez le détour.
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