chers vieux débris
les fins d'été laissent sur le sable
de vieux débris de peaux et de cris
que les oiseaux de mer affamés
s'empressent de se disputer
aux nettoyages intempestifs
des engins ratisseurs nocturnes
les marées d'équinoxe succèderont
apportant leurs flots de vieux bois
sur les plages délaissées
quelques restes de civilisation
retournés à l'état sauvage
joueront les prolongations
Tôt ou tard la nature reprend toujours ses droits.... Bonne semaine Christine !
RépondreSupprimerSublime chaque mot une couleur, un pinceau, et ça donne une grande.force aux mots, les larmes.poussent sdans nos yeux
RépondreSupprimerFrankie