zone d'ombre
Je me demande souvent qui domine l'autre ici : le mot ou l'image ?
J'aperçois une prépondérence parfois, rien qui ne tienne vraiment, rien qui ne soit réversible voire dénoncé du jour au lendemain.
Les ombres du soir dessinent l'origine du désir en noir et blanc.
Je sais et revendique l'absence total de démarche, de fil conducteur ou de style.
Je ne pourrais jamais prétendre être libre et ni défendre ma liberté si je me sentais enfermée dans une revendication quelconque, si je me devais à.
Qu'ai-je à defendre ? Rien.
Qu'ai-je à espérer ? Rien.
Mon ombre sera toujours mon image la plus précise.
Espace de liberté.
J'aperçois une prépondérence parfois, rien qui ne tienne vraiment, rien qui ne soit réversible voire dénoncé du jour au lendemain.
Les ombres du soir dessinent l'origine du désir en noir et blanc.
sur le mur soudain
les ombres frémissantes
un appel aux mots
Je sais et revendique l'absence total de démarche, de fil conducteur ou de style.
Je ne pourrais jamais prétendre être libre et ni défendre ma liberté si je me sentais enfermée dans une revendication quelconque, si je me devais à.
sans la lumière
l'ombre ne saurait donner
nom à la lettre
Qu'ai-je à defendre ? Rien.
Qu'ai-je à espérer ? Rien.
Mon ombre sera toujours mon image la plus précise.
Espace de liberté.
dans le contre-jour
l'obscur rend supportable
un peu de clarté
Mais ce rien est-il rien puisqu'il est présent ? Ce texte m'interpelle et la photo de ton ombre me parle de toi cent fois plus que la pleine lumière !
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