quand le sujet s'y prête
C'était un soir de pleine lune
et tu avançais devant moi
et tu avançais devant moi
des souvenirs traversaient les rues
grimpaient le long des façades
en ravalement
L'obscurité était là
cernant la pensée
craignant de la perdre
tu me guidais dans le nuit pleine
vers l’œil rond
Promeneurs d'un soir
le ciel aurait pu s'effondrer
sur les fourrés autour du lac
l'instant protégeait de la réalité
inévitable
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