esperanto personnel


Je parle
je communique
je pense
et
la pensée ouvre l'espace privé
de la conscience
mais suis-je vraiment moi
dans ce déploiement ou la simple image
d'un moi masqué par sa langue ?
Où se cache la voix naïve de l'enfance
qui courait sans réserve sur la dune ?
La langue l'a-t-elle éteinte ou fortifiée ?




Commentaires

A lire ou relire

pas d'inquiétude

allée et venue

on ne va pas se genêt

presque inaperçu

désir d'iris