vers d'autres fenêtres obscures


Entre deux bancs de brume
la nuit retient son souffle
elle sait que d'un rayon 
elle disparaîtra soudain

La calme obscurité 
s'offre au jour ici 
en toute quiétude
là-bas elle imprime sa marque
jusqu'à l'heure la plus lumineuse

Les oiseaux chantent-ils le matin
aux fenêtres détruites par la folie humaine ?


 

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