laissez-le fuir !
Ma pendule est tombée,
la trotteuse refuse d'avancer !
Mon temps est en panne...
[Impossible d'en retrouver une qui ose faire tic tac
Le silence semble être devenu un argument de vente indispensable.
Après avoir fait taire les coqs matinaux, les coucous, les comtoises, les cloches de l'angélus, on efface le défilement du temps dans les maisons. Son continuo fait-il donc si peur à ceux qui ont des écouteurs greffés dans les oreilles ?]
Sous les nuages blancs
je confie ma nostalgie à la dune
dans le balancement du vent
l'oyat fait du temps une rondeur
pour moi sur le sable

la trotteuse refuse d'avancer !
Mon temps est en panne...
[Impossible d'en retrouver une qui ose faire tic tac
Le silence semble être devenu un argument de vente indispensable.
Après avoir fait taire les coqs matinaux, les coucous, les comtoises, les cloches de l'angélus, on efface le défilement du temps dans les maisons. Son continuo fait-il donc si peur à ceux qui ont des écouteurs greffés dans les oreilles ?]
Sous les nuages blancs
je confie ma nostalgie à la dune
dans le balancement du vent
l'oyat fait du temps une rondeur
pour moi sur le sable
Il est en vos poèmes une permanente délicatesse qui m'émeut toujours autant.
RépondreSupprimerJ'apprécie vos commentaires, j'y trouve toujours un encouragement, merci.
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