Le crépuscule s'approche avec lui les heures anciennes et leurs nids d'anges et de démons s'ébrouant dans les branches mortes déjà du chemin sur la dune monte l'odeur des ombres sillage des émois sur le sable frais l'axe du monde est ici comment ne pas rêver du ciel quand du crépuscule jaillit un autre langage
Ouvert, ensoleillé et joyeux, enfin autant que l'on puisse apparier l'ajonc à la tristesse.
RépondreSupprimerLe genêt et son crachat de coucou, non plus ! :-)
SupprimerLe jaune éclatant des genêts dans le vert de la forêt landaise c'est l'extase du daltonien que je suis
RépondreSupprimerL'amour du vivant me mène à l’extase. c'est ainsi que j'en suis venu à pratiquer le celtaoïsme, un concept du grand poète celte Paul Quéré.
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