On y croyait il y avait tout les ombres faisaient l'affaire pas d'autres échos que nos pas – alors pourquoi ce pincement – le chemin des ombres mène le coeur où il veut dénoue les chevelures et côtoie les édifices sans se soucier de laideur les douces paroles de la saison nous berçaient à l'entrée des villes ou au coeur des forêts nos souffles à l'écoute de la légende des fleurs – qu'importe leur fausse notes – on y croyait on était heureux Photo M.
Ouvert, ensoleillé et joyeux, enfin autant que l'on puisse apparier l'ajonc à la tristesse.
RépondreSupprimerLe genêt et son crachat de coucou, non plus ! :-)
SupprimerLe jaune éclatant des genêts dans le vert de la forêt landaise c'est l'extase du daltonien que je suis
RépondreSupprimerL'amour du vivant me mène à l’extase. c'est ainsi que j'en suis venu à pratiquer le celtaoïsme, un concept du grand poète celte Paul Quéré.
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