"Tu ne sauras jamais aimer" avait-elle dit ses propos sentence résonnent encore le dépit était dans le ton pique à mordre l'affection le crève-coeur s'alimentait des petites contrariétés de la vie faute de changer l'eau du vase l'amour fleurit et fane sauf la tendresse sauf le regard sauf la mémoire et j'ai aimé l'eau du vase
Ouvert, ensoleillé et joyeux, enfin autant que l'on puisse apparier l'ajonc à la tristesse.
RépondreSupprimerLe genêt et son crachat de coucou, non plus ! :-)
SupprimerLe jaune éclatant des genêts dans le vert de la forêt landaise c'est l'extase du daltonien que je suis
RépondreSupprimerL'amour du vivant me mène à l’extase. c'est ainsi que j'en suis venu à pratiquer le celtaoïsme, un concept du grand poète celte Paul Quéré.
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