Te rappelleras-tu un jour le goût de la pêche le soir, quiétude offerte à la nuit dans un reste de touffeur du jour ? As-tu oublié le geste qui s'offre à l'océan la marche à pas lent jusqu'à l'aube de l'image égarée entre clarté et obscurité ? Te rappelleras-tu qu'un jour la nuit a dérobé le nuage qui cache nos rêves... (Soir sur le rivage, Mimizan)
Ouvert, ensoleillé et joyeux, enfin autant que l'on puisse apparier l'ajonc à la tristesse.
RépondreSupprimerLe genêt et son crachat de coucou, non plus ! :-)
SupprimerLe jaune éclatant des genêts dans le vert de la forêt landaise c'est l'extase du daltonien que je suis
RépondreSupprimerL'amour du vivant me mène à l’extase. c'est ainsi que j'en suis venu à pratiquer le celtaoïsme, un concept du grand poète celte Paul Quéré.
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