dans les entrailles de la nuit
La main fouille la nuit
hésite le corps
contourne sa chaleur,
l'obscur sans bruit
allonge à côté de moi
tous mes morts.
C'est ma liberté
de les regarder s'envoler
au matin.
[récurrent questionnement
faut-il noter ou faire taire les mots
ce qui fait corps ne résiste pas à la nuit
j'oublie déjà...]
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