pays

Prendre congé de la terre aimée
n'est pas lui tourner le dos
L'espace qui la porte
est infini de clameurs secrètes
à l'opaque résonance

Les choses qui s'y attachent
bercées de nostalgie
demeurent dans un coin oublié
chaude lassitude en sommeil
jusqu'au prochain retour


Commentaires

  1. "De chemin en chemin sur des chemins qui n'ont pas de fin"....Je ne me souviens plus de l'auteur !

    RépondreSupprimer

Enregistrer un commentaire

A lire ou relire

allée et venue

humains soient-ils

désir d'iris

épuisement de soi

bruissement