rester sous le charme
assis dans l'ombre
ce besoin de réconfortsied au coeur sombre
dans les failles de la pierre
joue du silence
en barque de feuilles
dans le moindre remuement
la voix succombe
pas d'inquiétude
Un bout de ciel n'a pas besoin d'adresse l'oiseau qui le traverse sait que nulle frontière ne l'arrêtera – l'oiseau a-t-il l'idée de la frontière – Un bout de nuage dans le tomber du jour la couleur qui le teinte n'a de signification que dans sa fraction de seconde – faut-il se souvenir de l'endroit exact – Deux yeux qui regardent l'oiseau et le nuage figés dans l'instant photographié confient à l'esprit liberté de l'oiseau et force du nuage
Magnifiques ces arbres. Cela donne vraiment envie de rester dessous !! Bonne semaine Christine !
RépondreSupprimerIls sont fiers de leur triple allée de charmes.
SupprimerBonne semaine François !
Oh oui, réconfort... Un silence particulier, leur discours rend attentif : tendre l'oreille tandis que les yeux se reposent.
RépondreSupprimerPour toi qui aime tant les arbres, ces charmes auraient déployé leur doux chant. A leur côté des ormes splendides et préservés de la maladie, ce qui est rare aujourd'hui.
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