Le crépuscule s'approche avec lui les heures anciennes et leurs nids d'anges et de démons s'ébrouant dans les branches mortes déjà du chemin sur la dune monte l'odeur des ombres sillage des émois sur le sable frais l'axe du monde est ici comment ne pas rêver du ciel quand du crépuscule jaillit un autre langage
Dis solution..
RépondreSupprimerJ'aime beaucoup ton poème, comme souvent j'aime beaucoup.
Se perdre de vue pour se retrouver aveugle à ce qui est vain...peut-être.. la nuit comme préparation d'autre chose... J'aime aussi ce poème
RépondreSupprimerMerci, François.
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