Un bout de ciel n'a pas besoin d'adresse l'oiseau qui le traverse sait que nulle frontière ne l'arrêtera – l'oiseau a-t-il l'idée de la frontière – Un bout de nuage dans le tomber du jour la couleur qui le teinte n'a de signification que dans sa fraction de seconde – faut-il se souvenir de l'endroit exact – Deux yeux qui regardent l'oiseau et le nuage figés dans l'instant photographié confient à l'esprit liberté de l'oiseau et force du nuage
Dis solution..
RépondreSupprimerJ'aime beaucoup ton poème, comme souvent j'aime beaucoup.
Se perdre de vue pour se retrouver aveugle à ce qui est vain...peut-être.. la nuit comme préparation d'autre chose... J'aime aussi ce poème
RépondreSupprimerMerci, François.
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