"Tu ne sauras jamais aimer" avait-elle dit ses propos sentence résonnent encore le dépit était dans le ton pique à mordre l'affection le crève-coeur s'alimentait des petites contrariétés de la vie faute de changer l'eau du vase l'amour fleurit et fane sauf la tendresse sauf le regard sauf la mémoire et j'ai aimé l'eau du vase
Dis solution..
RépondreSupprimerJ'aime beaucoup ton poème, comme souvent j'aime beaucoup.
Se perdre de vue pour se retrouver aveugle à ce qui est vain...peut-être.. la nuit comme préparation d'autre chose... J'aime aussi ce poème
RépondreSupprimerMerci, François.
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