On y croyait il y avait tout les ombres faisaient l'affaire pas d'autres échos que nos pas – alors pourquoi ce pincement – le chemin des ombres mène le coeur où il veut dénoue les chevelures et côtoie les édifices sans se soucier de laideur les douces paroles de la saison nous berçaient à l'entrée des villes ou au coeur des forêts nos souffles à l'écoute de la légende des fleurs – qu'importe leur fausse notes – on y croyait on était heureux Photo M.
Dis solution..
RépondreSupprimerJ'aime beaucoup ton poème, comme souvent j'aime beaucoup.
Se perdre de vue pour se retrouver aveugle à ce qui est vain...peut-être.. la nuit comme préparation d'autre chose... J'aime aussi ce poème
RépondreSupprimerMerci, François.
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