deuxième mémoire d'arbre
Enfant je fus initiée à la langue des arbres
depuis je les écoute sans un mot
me raconter en verts mots les saisons
le vol des oiseaux migrateurs
et tous ces petits mondes qu'ils accueillent
La mémoire de l'arbre est la Babel universelle
fourmillante d'invisibles mondes non profanés
J'aime beaucoup la fin du poème...invisibles mondes non profanés...
RépondreSupprimer