remplir les yeux

soir côte basque

Au jardin des algues,
aucun port d'attache.
Échouée loin des mots,
l'histoire s'étire
juste ce qu'il faut
pour la rendre singulière.

Le merle prend des airs,
de mouette océane,
septembre vient
chasse les orages
dissipe le voyage.

Dans le jardin du vent
le regard réinvente l'océan,
une invitation que je t'envoie...


Te souviens-tu de ces endroits stupéfiants où les yeux se remplissent au couchant ?

soir derrière la dune, Mimizan

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