en pensant à ma mère qui fut portée par la musique Vers quatorze heures l'ombre s'ajoutait à l'ombre lourde du soleil exalté don précieux de l'arbre gardien des notes qui ont guidé mon chemin jusqu'au musicien À l'instant où mes pas entrèrent dans l'ilot frais je perçus l'odeur diffuse du bonheur ... des semaines plus tard je le revois et je ressens ce presque rien qui me touche ce peu de douceur et d'apaisement du coeur Dernier spectacle de danse ensemble au G.T., dix ans déjà !
La nuit est une complice ou l'inverse, je ne sais pas vraiment.
RépondreSupprimerEn tout cas,
je me permets d'emprunter la votre
comme acolyte du moment pour mes heures de veille.
Elle est magnifique.
Avec plaisir.
SupprimerQuand ça joue sur les marées..
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