restent les songes
agrippés à nos rides
nos vies fantasmées


nous marchons parlons partageons
nous bâtissons autant que nous démolissons
revenus de loin
dans notre lutte nous avons usé la métaphore
du côté sombre de nos ruines
seuls ou ensemble
jusqu'à l'ultime mur
toujours captifs et 
fascinés
par notre ombre

sur le mur, la nature, matin d'envol, photo H Toulouse

Commentaires

A lire ou relire

patio

assèchement

cartographie céleste

tombée

le goût de la pêche le soir