en dépôt
D'un sceau marquer le jour
qui ne sera comme nul autre
un peu de rouille nourrie au sel
particules de songes à oxyder.
Dans le regard ce plaisir
toujours plus sauvage
sous les doigts le glissement
des states du corps lent.
L’œil dans le puits fouille l'envie
extirpe au sable mouillé l'eau
sans savoir où trouver la mer
égaré en bonheurs entrevus.
Du poids du corps inviter le jour
rebondir sur la chair vive du rêve
et recommencer encore une fois
ventre ouvert délivrée de rien.
Des livres et c'est tout..
RépondreSupprimerRien de plus
Et par goût
Revenons à l'humus..
Il en restera un peu d'écume.
SupprimerIl y aura eu bien des écueils
SupprimerEt j'attends le dernier avec impatience
Tout ce que les autres facilement ceuillent
Me demande trop de patience-s
(Ne t'alarme pas, à trépas, mais j'attends ce jour)
(Correction)
RépondreSupprimerNe t'alarme pas
Je ne suis pas à trépas
Mais j'attends ce jour
Pour oublier les plus beaux tours
Très beau texte
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