où nos rêves se sont perdus

J'ai vu tes mots s’appauvrir
et ces photos de ta vie 
où tu dis glisser des
intervalles de bonheur
J'ai senti le souffle du regret, 
le tremblement de ta peur
Le regard perdu 
dans le défilé des nuages 
je ne sais rien de la mort, 
du remord ou de l'ennui,
je ne souffre pas, 
j'enfonce mon corps
dans la lumière tendre
Je me bats pour 
ne pas être un jour
comme toi
terre aride.





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