à la Pirandello
Je suis fille de la nuit
aux murs je demeure silencieuse
l'ombre achève mes dentelles inspirées
soies des soirs langoureux
tulles vaporeux brodées de rêves
harmonie précieuse sculptée au fantasme.
Lui
Et toujours la (même) question qui revient encore :La vie n'est-elle qu'un théâtre plus ou moins éclairé
dans lequel nous, pauvres pantins, nous nous échinons à être pour exister ?
Souvent grotesques et vains, parfois grandioses.
Aisément oubliables...
BZB 17/11/2014
Souvent grotesques et vains, parfois grandioses.
Aisément oubliables...
BZB 17/11/2014
(costume de Pamina, fille de la reine de la Nuit, la Flûte enchantée, Mozart, Grand Théâtre Bordeaux)
Et pourtant emportés par un souffle qui demeure...
RépondreSupprimerBonn journée Christine malgré la pluie Ici...