hiver des bras

jour pacifié qui loue l'être
à la l'ombre des bras secs
l'hiver si long a oublié les songes
au lit sans fond à qui ne répond
entrelacs clairs où vibre le vide
sur les rives en grand chaos
le vent au moins enlace la peau




moins quelques traces de souvenirs pour contenir l'insensé de l'oubli
(dans ses bras, là)

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