en passant
(à toutes les présences croisées et ignorées)
Il est loin celui
qui s'est assis le premier sur ce banc
qui a flairé l'odeur du sous-bois naissant.
C'est un secret,
une présence qui interpelle, une invitation
au corps dans l'ombre fraîche des arbres.
Le pas l'ignore
et ce qui reste en arrière somnolant
est bien vite oublié, il doit en être ainsi.
Se poser là pour un repos recréateur...Belle semaine Christine
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