ruelles
Le jour déplie ses lueurs curieuses
le long des ruelles.
Les fenêtres muettes ignorent
ce qui s'y murmure.
Le chant d'un oiseau
deux ou trois paroles perdues
échappent à l'ennui.
On pourrait croire que rien ne vieillit ici
pourtant chaque pierre porte les rides
des enfants qu'elle a couvés.
J'aime beaucoup : "chaque pierre porte les rides
RépondreSupprimerdes enfants qu'elle a couvés." Bonne Pentecôte au vent du large, peut-être sur ces plages que tu aimes tant...
Merci François, une bonne fin de semaine à toi aussi sur tes chemins.
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