éperdument
dans le plaisir des vagues sur le sable
dans la fraîcheur du matin ou le calme du soir
la chair naît à la solitude
dans la touffeur d'un soir d'été
la tête se perd dans les étoiles
le sommeil nous a pris
le temps de baisser les paupières
nos sourires se sont figés sur
d'autres nuques
dans la fraîcheur du matin ou le calme du soir
la chair naît à la solitude
dans la touffeur d'un soir d'été
la tête se perd dans les étoiles
le sommeil nous a pris
le temps de baisser les paupières
nos sourires se sont figés sur
d'autres nuques
dans d'autres souffles
le printemps revenu
le printemps revenu
me voici
les yeux fermés
et le désir d 'une halte
plus fort que celui de la fuite
les yeux fermés
et le désir d 'une halte
plus fort que celui de la fuite

C'était une belle fin de journée, nous bavardions assis en haut de la dune.
Les gens passaient sans nous regarder.
Autour de nous, le bruit des vagues et des oiseaux à l'heure de la pêche.
Je me souviens, j'ai soudain eu un sentiment débordant pour toi, pour les humains, pour les oiseaux,
un sentiment si fort que j'étais au seuil de la mort.
2015
Les gens passaient sans nous regarder.
Autour de nous, le bruit des vagues et des oiseaux à l'heure de la pêche.
Je me souviens, j'ai soudain eu un sentiment débordant pour toi, pour les humains, pour les oiseaux,
un sentiment si fort que j'étais au seuil de la mort.
2015
qu'il est doux de passer par chez vous
RépondreSupprimer:-)
Une extase en fait ! Bonne journée Christine !
RépondreSupprimer:-)
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