Te rappelleras-tu un jour le goût de la pêche le soir, quiétude offerte à la nuit dans un reste de touffeur du jour ? As-tu oublié le geste qui s'offre à l'océan la marche à pas lent jusqu'à l'aube de l'image égarée entre clarté et obscurité ? Te rappelleras-tu qu'un jour la nuit a dérobé le nuage qui cache nos rêves... (Soir sur le rivage, Mimizan)
C'est beau, c'est subtil, comme un souffle d'air sur une feuille, comme un léger tremblement
RépondreSupprimerles oiseaux nous portent un peu …
RépondreSupprimer