à résiner

L'ombre s'allonge sous les pins
impitoyable l'été fond la résine
chauffe à blanc la forêt.
Vie au ralenti, souffle court,
les lichens dans leur crépitement
appellent la chute de la graine.
La nature excédée de chaleur
s'abandonne à l'impatience de l'ombre



Commentaires

A lire ou relire

L'endroit où nous sommes passés

don de l'eau

eau du soir

jaune

la belle affaire