Notes estivales , d'un regard naît la lumière (2)

J'observe le lent flétrissement des fleurs d’agapanthe, quinze jours et toujours autant de bleu.
De quoi faire rougir de jalousie un coquelicot !


Un bio de Stevenson terminée et je reste sur ma faim. Je voudrais lire ses poèmes, rien ou si peu en dehors des poèmes enfantins. Chants du voyage aux Belles Lettres indisponible, beaucoup trop cher d'occasion. Si quelqu'un veut s'en défaire, suis preneuse !



Nous regardons les oiseaux, petits êtres charmants et sauvages avec ravissement. Pourtant leur comportement a souvent de curieuses similitudes avec le nôtre.
Le curiosité était plus forte que la crainte pour l'aigrette qui précédait mon kayak le long du Courant et les moineaux de plus en plus entreprenants, quémandent leur part de mie de pain dès que je m’assoie sous l'arbre.
Curiosité et recherche de la facilité, deux travers de notre époque.

Petits et grands bonheurs sur le sable natal : regarder les mouettes rieuses frôler la vague, sculpter le sable aggloméré (aussi addictif que crever les emballages à bulles, en moins bruyant) pour faire des bagues ou des constructions improbables.


château de sable

Commentaires

A lire ou relire

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on ne va pas se genêt

allée et venue

presque inaperçu

l'art du point de jour