Attendre que viennent puis disparaissent
l'odeur de la rose exprimée du souvenir
dans la pâle et lente lueur du matin
un je ne sais quoi attentif
aux mots du poème
un feu intérieur
la vie.
De la part de Marc "J'espère ne jamais avoir fait faner de roses, elles sont si délicates et ? m'ont tant apporté, tant m'apportent, et tant m'apporteront"
un morceau de toi s'est échoué dans un coin de ma tête et je ne sais qui de lui ou de moi est le plus cassé on tente d'éviter les échardes les tessons et autres débris de la vie on essaie on essaie mais ils se planquent ils trouvent où rester tapis entre deux cafards en y réfléchissant bien je crois que plusieurs morceaux de toi squattent ici ou là je les imagine menant leur vie dans des lieux secrets en moi je les sens de temps en temps côté gorge côté coeur et celui de la tête en circonvolution de notre histoire
ton regard fuit et ce ne sont pas les excuses que tu lui donnes qui éviteront de te perdre ta tête penche toujours du même côté dans l'arc du regard qui n'ose heurter curieuse habitude de chercher dans le reflet de ta vie le pouvoir d'être ce que tu voudrais sans oser te l'avouer
La vie qui éclot dans les fleurs, dans les roses, dans les mots du poète, tous les matins renouvelés. Belle journée.
RépondreSupprimerParfum de beauté !
RépondreSupprimerBelle journée
De la part de Marc
RépondreSupprimer"J'espère ne jamais avoir fait faner de roses, elles sont si délicates et ? m'ont tant apporté, tant m'apportent, et tant m'apporteront"
Merci à vous trois, bonne nuit !
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