Puse mis amores
en Fernandillo.
¡Ay, que era casado,
mal me ha mentido!
Dígasme el barquero,
barquero garrido,
en qual de aquellas barcas
va Fernandillo.
El traydor era casado,
mal me ha mentido.
¡Ay, que era casado,
mal me ha mentido!
Ton texte Christine me fait penser à cette phrase de Pierre Albert Jourdan, un poète que j'aime : l'homme est ici une erreur qui s'apaise. Mais s'il n'y avait pas de vérité, il n'y aurait pas de mensonge. Bien sûr Ponce Pilate demande : "Qu'est-ce que la vérité", et il ne lui sera rien répondu, car seul vivre authentifie la vérité !! Bon dimanche !!
Merci pour le regard que tu as porté sur mon texte. Je sais que tu auras noté ma volonté de rester lapidaire jusqu'à en devenir tranchante. L'expression de notre "vérité" est à ce prix, enfin c'est ainsi que je le conçois.
"Tu ne sauras jamais aimer" avait-elle dit ses propos sentence résonnent encore le dépit était dans le ton pique à mordre l'affection le crève-coeur s'alimentait des petites contrariétés de la vie faute de changer l'eau du vase l'amour fleurit et fane sauf la tendresse sauf le regard sauf la mémoire et j'ai aimé l'eau du vase
J'irai je te le promets du pas lent mais décidé des égarés j'accompagnerai le souvenir lui tiendrai la main réchaufferai dans mon sein le petit oiseau temblant de l'oubli j'irai parce qu'il faut aller en comblant le trou de la tristesse à tordre le fil sur le lit asséché des amours disparus les failles de la vie s'ornent de si belles douleurs
Qui était-elle sujet de cet article en page fait divers elle marchait dans la nuit seule tirant sa cariole sous la pluie magré son grand âge qui était-elle poussée dehors par une urgence et que restera-t-il d'elle sur ce bas-côté de la route la pluie efface les pas la pluie nettoie les âmes arrive le jour où il est écrit que tu dois partir avec ou sans bagage je pense à elle cette inconnue pour moi rencontrée au détour de quelques lignes je pense à elle devenue dans mes lignes un peu moins anonyme
Le compte n'est jamais aussi rond que l'horloge des ans voudrait le laisser croire de pas de côté en ombres portées file la laine du mauvais écheveau Cinq cent soixante neuf mille quatre cent heures disparues dans la transparence des cadrans faudrait pas que décembre croit que je vais lui laisser les aiguilles libres de ressasser leur vilaine comptine À tourner en rond le compte n'est jamais bon
Ton texte Christine me fait penser à cette phrase de Pierre Albert Jourdan, un poète que j'aime : l'homme est ici une erreur qui s'apaise. Mais s'il n'y avait pas de vérité, il n'y aurait pas de mensonge. Bien sûr Ponce Pilate demande : "Qu'est-ce que la vérité", et il ne lui sera rien répondu, car seul vivre authentifie la vérité !! Bon dimanche !!
RépondreSupprimerMerci pour le regard que tu as porté sur mon texte. Je sais que tu auras noté ma volonté de rester lapidaire jusqu'à en devenir tranchante.
SupprimerL'expression de notre "vérité" est à ce prix, enfin c'est ainsi que je le conçois.