Aimer ce dont on ne peut se séparer
Au nom murmuré
les flots déferlent.
J'ouvre les yeux
et je vois son ombre.
J'aimerai toujours
ce dont je ne peux me séparer
et j'avancerai encore du bois
vers cette dune.
Dans les recoins de l'âme résiste
là où coule la source du souffle
une envie d'exister malgré le chagrin
qui s'attarde.
C’est beau
RépondreSupprimerTrès beau...aller vers la source du souffle
RépondreSupprimerune belle découverte cet espace poétique !
RépondreSupprimerles mots sont si beaux et fluides.
de belles images