Brenne en haïku
le calme nourrit
le regard dans les branches
pas un nuage
Les migrations estivales appellent des arrêts, des pauses, des haltes dans le corps et dans la tête.
Ce sont des temps à vivre autrement et autre chose.
Qui mieux que le haïku peut ressentir ces instants de recomposition de soi.
Oh parfait, le haïku !
RépondreSupprimerEt la photo est une splendeur.
Merci de tout.
Merci à toi Claire d'apprécier me rendre visite :-)
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