(Aux trousses d'une ombre)
Ce soir je poursuis un vieux fantôme
je le traque jusqu'au cœur du songe
et si dans le rêve je le retrouve
je déciderai de rester avec lui
Arrive ! Que je donne de l'ombre
et de la consistance à ta présence
s'il est vrai que la réalité sait peu de choses
la quête de l'illusion servira de boussole
Ce soir de petits nuages invisibles
envoient des signaux dans mes yeux
je prête l'oreille aux tentatives du silence
de te réduire à tout jamais en cendres
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RépondreSupprimerIl y a 28 ans, un psy m'a demandé si j'avais perdu mon ombre..
RépondreSupprimerTu te répètes Marc, tu te répètes, à moins que ce ne soit ton ombre...:-)
SupprimerCe doit être l'âge, je radote, chère méduse ;)
SupprimerMagnfique photo et Couperin, excellent pianiste !! Merci
RépondreSupprimerN'est-ce pas, François, tu as trouvé la raison de mon choix.
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