(sous le joug de l'image)



L'image recluse s'exprime fort
Elle règne dans les bras
dans la tête
instrumente le corps
le mène au bord de l’abîme.


L'image s'impose
aux yeux fermés
nouvelle mémoire
pour la suite du monde.


Inscrite sur les paupières
grand écran
comme un espèce de monde
centré sur l'hypercentre de chacun.


L'image pour tout voir
pour se faire voir
pour se protéger de ce qui est à voir
à l'extérieur.

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