Faut-il partir pour oublier ? La question fut encore posée. Fuir le désespoir les murs aux mots déformés ? L'heure n'a jamais été au deuil il est une évidence. Toute fuite est un échec rester l'est tout autant Des paroles profuses d'un soir garder la lassitude et remettre le couvert jusqu'au haut-le-cœur et refermer le piège sur l'être étrange qui nous habite non pour l'assassiner mais pour encore un peu le câliner La vie n'aura jamais meilleure source que celle de notre tourment Victime de la rosée du matin, qui s'en plaindra ?
bonjour !
RépondreSupprimerJ'aime quand de jolis mots se disposent, dans un texte, harmonieusement, comme les perles d'un collier !
"J’en connais d’autres en ce monde, et moi le premier,
Qui jamais, aux coins de vos yeux, ne feront perler
Les larmes, que le dos de votre main viendrait d’effacer. "
extrait du poème "Tromperie amoureuse" de (JR.).
Bon dimanche à vous !
Amicalement
Sant Johan.
Aucune tromperie ici, le monde réel est-il autre que celui contenu dans la simple goutte ?
SupprimerTrès belle photo. Un goutte fragile qui nous ouvre son jardin secret.
RépondreSupprimerUne émotion.
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