en pensant à ma mère qui fut portée par la musique Vers quatorze heures l'ombre s'ajoutait à l'ombre lourde du soleil exalté don précieux de l'arbre gardien des notes qui ont guidé mon chemin jusqu'au musicien À l'instant où mes pas entrèrent dans l'ilot frais je perçus l'odeur diffuse du bonheur ... des semaines plus tard je le revois et je ressens ce presque rien qui me touche ce peu de douceur et d'apaisement du coeur Dernier spectacle de danse ensemble au G.T., dix ans déjà !
bonjour !
RépondreSupprimerJ'aime quand de jolis mots se disposent, dans un texte, harmonieusement, comme les perles d'un collier !
"J’en connais d’autres en ce monde, et moi le premier,
Qui jamais, aux coins de vos yeux, ne feront perler
Les larmes, que le dos de votre main viendrait d’effacer. "
extrait du poème "Tromperie amoureuse" de (JR.).
Bon dimanche à vous !
Amicalement
Sant Johan.
Aucune tromperie ici, le monde réel est-il autre que celui contenu dans la simple goutte ?
SupprimerTrès belle photo. Un goutte fragile qui nous ouvre son jardin secret.
RépondreSupprimerUne émotion.
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