sans y parvenir
(Acquadolce, Italie 2017)
comme on se laisse aller à une image.
L'oiseau chantait,
l'accord des couleurs avec la lumière
était parfait,
les lèvres fredonnaient un air
du matin,
impeccable le printemps
avait fleuri,
l'âme et le corps se confondaient
avec le désir.
Et pourtant le ventre était
traversé par l'appel obsédant
les doigts cherchaient
la déchirure dans la pierre
pour museler le manque.
Bonjour !
RépondreSupprimerL’harmonie de votre poésie se construit à mesure qu’apparaissent et s’écoulent vos mots.
Tout se cale pour mettre notre ressenti en osmose avec l’imaginaire que fait naître votre écrit !
Merci pour cet instant d’évasion !
Amicalement !
Sant Johan.
Ca n'est pas un appel du ventre, c'est l'espoir d'une colonne d'air. Même si..
RépondreSupprimerMuseler le manque ....qu'est-ce qui en moi ne manque de rien ? Par ce jour terriblement gris il me reste cette tendresse que je peux me porter à moi-même ! Bonne journée Christine !
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