On y croyait il y avait tout les ombres faisaient l'affaire pas d'autres échos que nos pas – alors pourquoi ce pincement – le chemin des ombres mène le coeur où il veut dénoue les chevelures et côtoie les édifices sans se soucier de laideur les douces paroles de la saison nous berçaient à l'entrée des villes ou au coeur des forêts nos souffles à l'écoute de la légende des fleurs – qu'importe leur fausse notes – on y croyait on était heureux Photo M.
bonjour !
RépondreSupprimerJ'aime quand de jolis mots se disposent, dans un texte, harmonieusement, comme les perles d'un collier !
"J’en connais d’autres en ce monde, et moi le premier,
Qui jamais, aux coins de vos yeux, ne feront perler
Les larmes, que le dos de votre main viendrait d’effacer. "
extrait du poème "Tromperie amoureuse" de (JR.).
Bon dimanche à vous !
Amicalement
Sant Johan.
Aucune tromperie ici, le monde réel est-il autre que celui contenu dans la simple goutte ?
SupprimerTrès belle photo. Un goutte fragile qui nous ouvre son jardin secret.
RépondreSupprimerUne émotion.
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