On y croyait il y avait tout les ombres faisaient l'affaire pas d'autres échos que nos pas – alors pourquoi ce pincement – le chemin des ombres mène le coeur où il veut dénoue les chevelures et côtoie les édifices sans se soucier de laideur les douces paroles de la saison nous berçaient à l'entrée des villes ou au coeur des forêts nos souffles à l'écoute de la légende des fleurs – qu'importe leur fausse notes – on y croyait on était heureux Photo M.
bonjour !
RépondreSupprimerJe vous souhaite mes meilleurs vœux pour cette nouvelle année !
Merci pour ce poème remplie d'ombre et de lumière !
Amicalement !
Sant Johan.
Tous mes vœux en retour, que l'année vous soit douce.
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