On souhaite, on aspire, on croit.
On désire faire fructifier la branche.
Sans rien oublier,
on vit, on éprouve l'imaginaire
jusqu'au soir où l'on voit les
feuilles jaunies tombées à terre.

Soir sur le marais, février 2019

Commentaires

  1. Très beau poème —mais c'est votre usage—; il me touche beaucoup, pour d'autres raisons.

    RépondreSupprimer

Enregistrer un commentaire

A lire ou relire

murmure

cartographie céleste

coupe rase

jeu d'ombre

montée au ciel